Depuis 1922, date de création des Gueules Sèches, si la face visible est de se faire plaisir en pratiquant la musique, les Gueules Sèches ont tous un but commun, c’est de donner du bonheur aux autres, de les transporter vers une île sous le soleil, même le temps d’une mélodie.

Mais dans la face cachée se trouvent aussi l’entraide, la mixité, la curiosité secrète de l’autre. Quel plus beau chaudron que celui qui, composé de jeunes, de vieux, de savants, de modestes, de timides, de grandes gueules (plus ou moins sèches), de manuels, de bureaucrates, d’hommes, de femmes, voire même de politiques aux convictions bien tranchées … d’êtres humains tout simplement.

Quel plus beau chaudron donc et plus belles interactions humaines que de ne vouloir donner que du bonheur aux hommes, de devenir ambassadeur de sa région, pour la joie de partager sa différence.

Les fondateurs ont créés en toute simplicité en 1922 ce que les génies de la sociologie moderne voudraient créer de nos jours sous le nom de réseau social.

Une seule variante les Gueules Sèches ne se cachent pas derrière un écran, mais, le percent pour être en contact avec l’humain.

En sciences sociales on utilise l’expression « réseau social » pour décrire une structure qui se crée autour d’interactions sociales.

L’émergence du web 2.0 et la généralisation des outils interactifs tendent à généraliser l’appellation « réseau social » à tout type de site pourvu qu’il propose quelques services de partage multimédia et de bookmarking.

Si la devise des Gueules Sèches “Honni soit qui mal y pense “est plus que toujours véridique et vérifiable, une version plus moderne, plus dans le langage des jeunes et compréhensible par eux… peut-être :

Les Gueules Sèches réseau social depuis 1922.